Super 8mm sur vidéo, coul-n&b, sonore, 11 min.
Le film décline différentes formes et manifestations prises par l’eau, l’expérience du corps immergé du cinéaste, englouti, en contact avec l’élément liquide, sert de fil conducteur à cet essai poétique sur l’imaginaire de la matière.
L’eau est une “substance agissante (…) qui ne se contente pas de dissimuler mais plus activement, aspire, accueille, dissout et réintègre la matière des corps dans son propre flux (…) De cette tension entre ce qui se joue au-delà et en deçà de la surface, attestent aussi des figures de l’entre deux, des images dans lesquelles se donne à voir, dans sa dimension la plus paradoxale, le moment de cette traversée des apparences.”
Le film décline différentes formes et manifestations prises par l’eau, l’expérience du corps immergé du cinéaste, englouti, en contact avec l’élément liquide sert de fil conducteur à cet essai poétique sur l’imaginaire de la matière.
Extrait du livre Les images de l’eau dans le cinéma français des années 20 – Eric Thouvenel
Film distribué par Light Cone