Nés en France, elle en 1971, lui en 1970, ils vivent et travaillent à Montreuil depuis 14 ans. En 2001, ils créent avec d’autres, l’AAPM, unité de production et le DOJO CINÉMA unité de réalisation cinématographique, qu’ils développent et animent pendant plusieurs années. Dans ce cadre, ils coréalisent collectivement une vingtaine de films courts, moyens et longs. En 2006, une rétrospective de leurs films est organisée au Ciné 104 de Pantin à l’occasion du Festival Côté Court. Parallèlement, ils publient aux éditions Paris-Expérimental un ouvrage qui a pour titre Enoncer un public.
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Depuis 2009 Sol Suffern-Quirno et Rudolf di Stefano continuent ensemble le travail cinématographique, Nos yeux se sont ouverts fut le premier film de cette nouvelle étape. Entre 2010 et 2014, ils réalisent plusieurs films dont Vies parallèles.
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Par ailleurs, durant l’année 2008-2009, Rudolf di Stefano anime un atelier d’investigation cinématographique à la Maison du Film Court, qui a pour objectif de dégager du cinéma ce qui est son invention propre : sa singularité, au travers de trois cinéastes que sont Robert Bresson, Jean-Luc Godard, Jean-Marie Straub et Danièle Huillet, ce travail sera publié sous la forme d’un livre aux Éditions Al dante, fin 2014
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Aujourd’hui Rudolf di Stefano anime avec le compositeur François Nicolas des séances trimestrielles Qui-vive au Ciné 104 de Pantin. Ces séances se veulent un lieu d’élaboration d’une nouvelle forme d’entrelacement entre cinéma, poésie, musique, politique, mathématiques,.…