Le Dojo cinéma a opéré de 2000 à 2007, il n’était constitué ni de vidéastes, ni de cinéastes, ni d’artistes, ni d’individus, il n’était pas non plus un collectif, mais se voulait le lieu de l’invention d’un public. Le Dojo cinéma se définissait comme un peuple de cinéma : un public constitué par la production, la réalisation et la projection de films.